papyrural, Le blog d'Armand PAQUEREAU

Depuis 2017, la maxime du gouvernement se traduit par des promesses la plupart du temps contredites par les actions qui s’ensuivent.

Chacun se souvient de la promesse d’interdire l’usage du glyphosate. Cet engagement, imposé par les écologistes a été justifié sur des prétendus dangers pour la santé des utilisateurs et des consommateurs.

Les opposants au glyphosate arguent que les données sur lesquelles se sont appuyées les agences officielles de santé pour autoriser ou proroger l’utilisation de cet herbicide sont des plagiats (ou des copiés-collés) des données fournies par Monsanto et assoient leurs demandes d’interdiction sur le fait que l’on ne peut juger de la non-dangerosité de ce produit sur des données fournies par le fabricant lui-même.

Il est factuel de constater que l’autorisation actuelle des vaccins anti-Covid19 relève du même principe des essais cliniques conduits par les fabricants.

Ainsi, ce qui serait un danger sanitaire pour le glyphosate ne poserait aucune interrogation pour les vaccins anti-Covid19 ?

La différence énorme est qu’après 45 années d’utilisation dans le monde entier, à des quantités conséquentes, les experts du monde entier ne peuvent s’entendre pour démontrer quel degré de dangerosité représente cet herbicide.

Espérons qu’il en sera de même pour l’avenir des vaccins Covid19, qu’ils auront autant d’efficacité et que leur dangerosité ne sera pas démontrée.